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Paul Eluard
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Capitale de la douleur ; l'amour la poésie
Paul Eluard
- Gallimard
- Poesie Gallimard
- 2 Mars 2023
- 9782073022769
«Parler aux hommes le langage de tous les hommes et leur parler cependant un langage tout neuf, infiniment précieux et simple pourtant comme le pain de la vie quotidienne, nul poète, avant Éluard, ne l'avait fait si naturellement. Transmuer en une sorte d'or vierge l'aspect des joies et des douleurs communes à tous, pour en faire éclater la splendeur unique, Éluard fut capable de cela plus intensément et plus aisément que nul autre. L'amour la poésie, ce titre (que je trouve follement beau), n'est-ce pas la formule exacte qui en coiffant impérieusement la vie permet de la renouveler ? La plupart des poètes ont célébré l'amour. Combien sont-ils, à la réflexion, qui l'aient porté en eux toujours et qui en aient imprégné leur oeuvre à la manière d'Éluard ? Capitale de la douleur, L'amour la poésie, je vois en ces livres des tableaux de la vie commune telle que par l'amour elle est rendue poétique, c'est-à-dire illuminée. Il n'est personne qui, pour un temps bref au moins, n'ait fait l'expérience de pareille illumination, mais les avares et les prudents ont la règle de rabaisser les yeux au plus vite, tandis que la leçon d'Éluard est de substituer définitivement le monde ainsi transfiguré à l'ancien et de s'en mettre plein la vue et plein les doigts sans avoir peur de se déchirer à ses aigus sommets.» André Pieyre de Mandiargues
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Ce volume rassemble des poèmes de Paul Eluard (1895-1952) publiés pendant la Seconde Guerre mondiale, le plus souvent dans la clandestinité sous des pseudonymes tels que Jean du Haut ou Maurice Hervent, dans divers recueils, revues et brochures (dont L'Honneur des poètes, Minuit, juillet 1943 et Europe, Minuit, mai 1944). Ainsi le recueil Poésie et vérité 1942, publié en mai 1942 aux Éditions de la Main à la Plume, et dans lequel figurent "La Dernière Nuit et quelques autres poèmes dont le sens ne peut guère laisser de doutes sur le but poursuivi : retrouver, pour nuire à l'occupant, la liberté d'expression".
L'un de ces "quelques autres poèmes" est Liberté.
"Et partout en France, écrit Paul Eluard dans la bibliographie du recueil, des voix se répondent, qui chantent pour couvrir le lourd murmure de la bête, pour que les vivants triomphent, pour que la honte disparaisse."
Ces poèmes d'Éluard furent recueillis en un volume publié aux Éditions de Minuit en 1945, avec trois autres poèmes inspirés entre 1936 et 1938 par la guerre d'Espagne. C'est cette édition qui est reprise ici. -
Recueil issu de Capitale de la douleur suivi de L'amour la poésie, (Poésie/Gallimard)
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«Le monde entier dépend de tes yeux purs» : quand Éluard écrit ce vers, sa femme Gala a déjà entamé une liaison avec un autre. Chef-d'oeuvre des Années folles, le recueil du poète délaissé jongle avec les images surréalistes pour exprimer la tristesse lumineuse d'un homme blessé au coeur, qui meurt de ne pas mourir. TOUT POUR COMPRENDRE - Notes lexicales - Biographie de l'auteur - Contexte historique et culturel - Genèse et postérité - Genre de l'oeuvre - Pour mieux interpréter - Chronologie et carte mentale TOUT POUR RÉUSSIR - Explications linéaires guidées - Histoire des arts - Commentaire guidé - Termes d'analyse littéraire GROUPEMENT DE TEXTES - Le blason poétique.
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Capitale de la douleur ; Les dessous d'une vie
Paul Eluard
- Flammarion
- Gf ; Poesie
- 13 Mars 2024
- 9782080424563
Fruit de cinq années de production poétique, Capitale de la douleur (1926) est l'un des recueils les plus célèbres de Paul Éluard. S'y trouve retracé le parcours initiatique d'un jeune poète, qui exorcise son désespoir par la recherche d'un verbe pur, simple et enchanteur. La poésie qui en résulte est, pour André Breton, un «miracle», un «secret qui prend les couleurs de l'éternité». Publié la même année, Les Dessous d'une vie ou la Pyramide humaine achève de consacrer le poète comme étendard des avant-gardes littéraires du siècle. Rassemblant poèmes en prose, récits de rêves et textes surréalistes, ce second recueil révèle en creux la part onirique de Capitale de la douleur et réaffirme la recherche, par Éluard, d'une forme verbale capable de réparer la discontinuité du monde. DOSSIER - Surréalisme et poésie : le dialogue Éluard-Breton - Dans la fabrique des recueils - Échos littéraires et artistiques.
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« La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur...», « Elle est debout sur mes paupières...», « Je t'aime pour toutes les femmes / que je n'ai pas connues...» : les poèmes d'amour d'Éluard ont sans doute été moins chantés que ceux d'Aragon, mais leur musique s'écoule comme une eau claire dans la mémoire de ceux qui le lisent. Il faut dire que l'amour est au coeur de son oeuvre. Amour, libre et fou, qu'il vouait à Gala en pleine révolution surréaliste. Amour passion pour Nusch dont la disparition prématurée le plonge dans l'abîme. Amour de la maturité pour Dominique rencontrée en 1949 au Congrès mondial pour la paix. Trois femmes, trois visages qui l'auront fait passer « de l'horizon d'un seul à l'horizon de tous ». Lisez les poèmes qu'il écrivit pour elles : ils ouvrent les portes du soleil.
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J'ai un visage pour être aimé ; choix de poèmes 1914-1951
Paul Eluard
- Gallimard
- 12 Mars 2009
- 9782070365715
Paul Éluard aimait lire les poètes. Il affirmait que la plus belle anthologie est celle que l'on compose pour soi, et il a réalisé en ce domaine l'une des plus toniques et surprenantes explorations de la poésie française à travers les siècles. En ce qui concerne son oeuvre personnelle, il a également, à pusieurs reprises, proposé des choix par lesquels il entendait suggérer un parcours allant de recueil en recueil et qui révélait à l'évidence l'unité foncière de sa démarche, la permanence de sa voix. C'est l'ultime recension voulue par Paul Éluard lui-même, peu de temps avant sa mort, qui se trouve ici rassemblée, avec pour titre l'un des vers où il apparaît en poète de l'appel, de l'offrande, en poète qui veut l'accueil, l'écoute, l'harmonie et l'amour. Tous les chemins suivis, toutes les émotions, tous les désirs, toutes les solidarités, tous les engagements tissent non pas un labyrinthe mais une échappée fragile et lumineuse, une quête sans cesse alertée, qui ne refuse pas les combats du monde tout en préservant une grâce singulière, une magie douce, une inapaisable tendresse. Avec cette anthologie, c'est toute la poésie d'Éluard qui se donne en partage. En elle, à toutes les pages, se lèvent un chant, une merveille, un visage qui savent se faire aimer.
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La vie immédiate ; la rose publique ; les yeux fertiles ; l'évidence poétique
Paul Eluard
- Gallimard
- Poesie Gallimard
- 21 Avril 1967
- 9782070300969
Amoureuses Elles ont les épaules hautes Et l'air malin Ou bien des mines qui déroutent La confiance est dans la poitrine À la hauteur où l'aube de leurs seins se lève Pour dévêtir la nuit Des yeux à casser les cailloux Des sourires sans y penser Pour chaque rêve Des rafales de cris de neige Des lacs de nudité Et des ombres déracinées. Il faut les croire sur baiser Et sur parole et sur regard Et ne baiser que leurs baisers Je ne montre que ton visage Les grands orages de ta gorge Tout ce que je connais et tout ce que j'ignore Mon amour ton amour ton amour ton amour.
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«Les expériences auxquelles va se livrer Éluard entre Le devoir et l'inquiétude (1917) et Les dessous d'une vie (1926) n'ont pas pour but d'affirmer l'originalité ou la virtuosité d'un écrivain, d'aiguiser ou de souligner sa singularité, ni de créer un frisson nouveau pour les connaisseurs. Éluard n'est pas non plus à cette époque à la recherche de lui-même, comme on dit. Tout se passe au contraire comme s'il s'était trouvé d'emblée, en même temps qu'il prend congé de Grindel pour adopter le nom de sa grand-mère. La voix la plus éluardienne se fait entendre dès le début, inimitable comme eau de source, effervescente de limpidité, volubiles et lisses vocalises de bulles d'oxygène naissant.»Claude Roy.
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«Je sais parce que je le dis Que mes désirs ont raison Je ne veux pas que nous passions À la boue Je veux que le soleil agisse Sur nos douleurs qu'il nous anime Vertigineusement Je veux que nos mains et nos yeux Reviennent de l'horreur ouvertes pures Je sais parce que je le dis Que ma colère a raison Le ciel a été foulé la chair de l'homme A été mise en pièces Glacée soumise dispersée Je veux qu'on lui rende justice Une justice sans pitié Et que l'on frappe en plein visage les bourreaux Les maîtres sans racines parmi nous Je sais parce que je le dis Que mon désespoir a tort Il y a partout des ventres tendres Pour inventer des hommes Pareils à moi Mon orgueil n'a pas tort Le monde ancien ne peut me toucher je suis libre Je ne suis pas un fils de roi je suis un homme Debout qu'on a voulu abattre» Le travail du poète, VII
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Pour vivre ici Je fis un feu, l'azur m'ayant abandonné, Un feu pour être son ami, Un feu pour m'introduire dans la nuit d'hiver, Un feu pour vivre mieux. Je lui donnai ce que le jour m'avait donné Les forêts, les buissons, les champs de blé, les vignes, Les nids et leurs oiseaux, les maisons et leurs clés, Les insectes, les fleurs, les fourrures, les fêtes. Je vécus au seul bruit des flammes crépitantes, Au seul parfum de leur chaleur ; J'étais comme un bateau coulant dans l'eau fermée, Comme un mort je n'avais qu'un unique élément. (1918) [...]
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«Le poète est celui qui inspire bien plus que celui qui est inspiré. Les poèmes ont toujours de grandes marges blanches, de grandes marges de silence où la mémoire ardente se consume pour recréer un délire sans passé. Leur principale qualité est non pas, je le répète, d'invoquer, mais d'inspirer. Tant de poèmes d'amour sans objet réuniront, un beau jour, des amants. On rêve sur un poème comme on rêve sur un être. La compréhension, comme le désir, comme la haine, est faite de rapports entre la chose à comprendre et les autres, comprises ou incomprises. C'est l'espoir ou le désespoir qui déterminera pour le rêveur éveillé - pour le poète - l'action de son imagination. Qu'il formule cet espoir ou ce désespoir et ses rapports avec le monde changeront immédiatement. Tout est au poète objet à sensations et, par conséquent, à sentiments. Tout le concret devient alors l'aliment de son imagination et l'espoir, le désespoir passent, avec les sensations et les sentiments, au concret. [...]» Extrait de L'évidence poétique
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30 poèmes de Paul Éluard
Alexis Buffet
- Belin Education
- Declic. Vous Allez Aimer Lire
- 16 Août 2023
- 9791035826734
Dossier pédagogique d'Alexis Buffet.
Pour Paul Eluard, une vie sans être aimé et un monde en guerre n'ont as de sens, seuls l'amour, la paix et la nature importent. À travers ces 0 poèmes, le poète présente trois causes qui lui sont chères : l'amour e la femme, la beauté de la nature et la liberté. Ce sont les muses qui lui ermettent d'écrire ses vers intemporels et engagés. Découvrez la poésie urréaliste de Paul Eluard ! -
«Ce nouveau recueil de vingt-sept poèmes inédits en majeure partie marque un moment important dans la vie de l'auteur et dans son oeuvre. Je me suis voulu moraliste, dit-il dans sa préface. Combien de fois ai-je dû me répéter, avec cet entêtement absurde du combattant discipliné : 'Ce qui est mal te fait souffrir ou fait souffrir les autres, mais ce qui est bien est juste et harmonieux et sage, dans tous les sens ; tu le sais, ne ruse pas.' Car ruser avec le bien s'avère toujours plus possible que de conserver son mal. On ruse avec la vie, on ne trompe pas la mort. Mais ce bien et ce mal, quels sont-ils ? Combien de fois ai-je changé l'ordre de ces poèmes, remis au bien ce qui était au mal, et inversement ? Le jour suivait-il la nuit ou la nuit le jour ? Je suis d'humeur changeante, mais ni l'aube pour moi, ni le crépuscule, jamais ne trébuchent. Ils se transforment. Le mal doit être mis au bien. Et par tous les moyens, faute de tout perdre. Contre toute morale résignée, nous dissiperons la douleur et l'erreur. Puisque nous avons eu confiance.» (Bulletin de la NRF n° 30, déc. 1949)
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Poète surréaliste, poète engagé, Éluard, qui a lutté pour la liberté, s'est toujours voulu «un homme parmi les hommes». Sobre, limpide, fervente, sa poésie chante l'amour, le renouveau, le désir. Inégalée, lumineuse, elle est l'une des plus émouvantes et des plus belles qui soient. «Elle est debout sur mes paupières Et ses cheveux sont dans les miens, Elle a la forme de mes mains, Elle a la couleur de mes yeux, Elle s'engloutit dans mon ombre Comme une pierre sur le ciel. Elle a toujours les yeux ouverts Et ne me laisse pas dormir. Ses rêves en pleine lumière Font s'évaporer les soleils, Me font rire, pleurer et rire, Parler sans avoir rien à dire.» («L'amoureuse», «Mourir de ne pas mourir»).
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Ce recueil est un modèle de complicité artistique, les deux auteurs engendrant une oeuvre qui exige que les dessins de l'un et les poèmes de l'autre demeurent indissociables. Renversant l'ordre habituel des choses, Paul Éluard avait d'ailleurs tenu à préciser sur la page de titre du manuscrit de travail des Mains libres que c'était lui, le poète, qui avait «illustré» les dessins de Man Ray. En fait d'illustrations, les textes entrent plutôt en résonance intuitive avec les propositions graphiques : on dirait face à face des traits et des mots qui, tous, ont finalement fonction d'embarcadères et prennent un malin plaisir à jouer de l'égarement ou à décupler les destinations imprévues. Toutes les pages de ce livre témoignent d'une intuition active et partagée, toujours en mouvement, toujours éclairante. Deux artistes, avec leurs armes propres, y découvrent leur champ commun. Ils ont les mains libres, mais avec, en plus, le bonheur d'être ensemble.
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Capitale de la douleur
Paul Eluard, Pierre Mathieu
- Magnard
- Classiques & Contemporains
- 24 Mai 2023
- 9782210777576
Le premier recueil surréaliste de Paul Éluard, poète incontournable du XXe siècle, avec une centaine de poèmes, parmi lesquels les plus beaux et les plus célèbres de l'auteur. Cette édition pédagogique est destinée aux élèves de lycée dans le cadre de l'objet d'étude « La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle ».
Les poèmes de Capitale de la douleur, premier recueil de Paul Éluard, explorent une ligne de crête entre l'intime et le collectif : de la douleur de l'éloignement de Gala, sa femme, à la dénonciation des horreurs de la guerre en passant par le constat désabusé de la vacuité de l'existence. Influencé par le dadaïsme, puis le surréalisme, ce recueil est aussi celui d'une trajectoire poétique : les obsessions thématiques et les expérimentations formelles y renouvellent sans cesse les formes anciennes et nous font entendre une voix singulière qui résonne chez tout un chacun.
Ce recueil constitue une lecture idéale pour l'axe du programme de première générale et technologique « La poésie du XIXe au XXIe siècle ». L'appareil pédagogique est en outre enrichi d'aides à la préparation des épreuves écrite et orale du baccalauréat.
En plus :
En audio : les premiers poèmes à écouter pour entrer dans la lecture + l'intégralité d'un oral du Bac français !
Un cahier avec oeuvres d'art et photographies en couleurs !
Cet ouvrage correspond parfaitement aux attendus des programmes de lycée et lycée pro :
2de et 1re : La poésie 1re pro : L'invention et l'imaginaire -
La poésie engagée
Anna Akhmatoya, Louis Aragon, Aimé Césaire, René Char, Robert Desnos, David Diop, Paul Eluard, Collectif
- Belin éducation
- Classico College - Anthologie Et Dossier
- 8 Août 2017
- 9782410004762
Tout au long du XXe siècle, des voix se sont élevées contre la guerre, le colonialisme et la barbarie. Les poètes engagés ont écrit des textes en vers ou en prose pour témoigner ou résister ; ils ont fait de leur plume une épée pour combattre les injustices de leur temps. Un mot d'ordre les guide : celui de liberté.
Auteurs :
Textes de A. Akhmatova, L. Aragon, A. Césaire, R. Char, R. Desnos, D. Diop, P.
Éluard, F. García Lorca, A. Machado, P. Neruda, J. Prévert, Y. Ritsos, L. S. Senghor.
Dossier pédagogique de Gaêlle Le Guern-Camara est professeur de français à La Courneuve (collège Jean Villar).
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Des poètes et des peintres
René Char, Paul Eluard, Michel Leiris, Pierre Reverdy
- Gallimard
- Poesie Gallimard
- 5 Décembre 2016
- 9782072688195
Coffret de cinq volumes vendus ensemble
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Une analyse de l'oeuvre au programme du bac 2014 de littérature française en Tle L.
Les Mains libres, le recueil du poète Paul Éluard et de l'artiste Man Ray, est au programme du bac 2014 de littérature française en terminale L, en lien avec l'objet d'étude " Littérature et langages de l'image ".
Ce Profil du bac en propose une analyse approfondie en deux parties.
1. Le résumé et les repères pour la lecture La présentation de tous les poèmes et dessins du recueil 2. Les problématiques essentielles Éluard et le surréalisme - Comment le langage " illustre " les dessins - L'image de la femme - Poésie et politique - La figure du poète...